tu m'aimes, un peu, beaucoup...
A toi qui m'aimes, qui m'aimais ou qui m'aimeras (ou ET qui m'aimeras ! )...
Ne crois pas que je suis aveugle... Si tu ne cherches pas à tout faire pour que ça ne se voit pas (dans le genre rester le moins possible en ma compagnie, ne pas me regarder etc...), certainement que je pourrais me douter que tu m'aimes... Mais n'espère pas trop que je te fasse savoir que je sais pour de bon. Que ton amour soit partagé ou non, je te tendrais sûrement des perches pour t'aider à te lancer... Si tu y parviens, que je t'aime ou pas, je n'aurais pas envie de t'envoyer promener. Si je ne partage pas ton amour, je te le dirais en essayant de ne pas te blesser. Si je le partage... alors va savoir ce que je ferais. Si tu ne te lances pas, et même si je t'aime... alors peut-être que dans vingt ans, alors qu'on aura l'un et l'autre trouvé une nouvelle âme soeur, une âme qui aura osé s'approcher et nous demander... Dans vingt ans, peut-être, on se dira... Tu sais... j'étais amoureux de toi... ah bon ? Je l'étais aussi. C'est dommage.
... et je renvoie à l'article que j'ai posté au début du mois... http://idrilanwamane.canalblog.com/archives/2008/09/03/10449525.html#comments