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Le blog d'Idril Anwamanë
Le blog d'Idril Anwamanë
  • Moi qui suis ici, pour tous, Alice, 19 ans, j'ai un secret... A vous, je peux bien le révéler : mon nom est Idril Anwamanë, et je suis une elfe, perdue dans le monde étrange des hommes... Mais chuuuuuuuuuuuuuut... Ne le répétez à personne !
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25 avril 2009

l'ébauche d'un poème...

La vie va, la vie vient, et les sentiments avec. Aimez une personne un jour, commencez à perdre cette flamme doucement, et rencontrez quelqu'un d'autre... Le premier feu s'éteint brusquement, comme si on l'avait noyé sous toute l'eau que contiennent les fleuves... Et en ce même temps, un second feu s'allume, avec des flammes plus hautes que jamais... Un amour va, un autre vient... Jusqu'au prochain ?

Alors, à présent... mes poèmes changent de destinataire. Ce ne sera pas la première fois, en trois années de blog, mes poèmes ont été adressés à diverses amours masquées... D'autant plus facilement nombreuses (enfin, nombreuses, il ne faudrait pas non plus exagérer, une main suffit à les compter !!!). Alors voilà... Monsieur mon amour précédent, mon coeur vous a oublié, peut-être définitivement, peut-être seulement pour un temps... on verra.

Ce poème-ci, je l'ai baptisé l'ébauche d'un poème, parce que comme cela m'arrive finalement assez souvent, c'est en entreprenant l'écriture d'un premier poème, qui s'avère trop mauvais, qu'en nait un deuxième, qui me plaît davantage. Voilà donc, ce n'est peut-être pas tout à fait un poème, ou si ç'en est un, il est en tout cas en prose...

Mais au fond, rien ne change... poème rime toujours avec... je t'aime.

amour2

C’était une ébauche de poème,

Un poème qui a fait sortir mes larmes.

Sous mon crayon se dessinaient des mots qui ne s’assemblaient pas,

Tandis que sur mon visage s’effaçait ce qu’il restait d’un sourire...

Je voulais écrire un poème,

Mais le poème s’est étranglé.

C’est pour toi que mon stylo dansait sur le papier ;

Mais comme un souvenir de ton image restait devant mes yeux,

Mais comme une empreinte de ton odeur revenait enivrer mon cœur,

Je suis tombée,

Et le crayon s’est cassé.

J’ai cru rêver...

Un instant, il m’a semblé que nous étions dans le même songe,

Mais je ne sais plus...

Je ne l’ai pas cru longtemps,

J’ai perdu le goût d’espérer...

Pourtant... l’espoir ne meure jamais,

Il est là, encore, caché...

Un espoir bat au son de mon cœur.

Cet espoir porte ton nom, il est pour toi,

Cet espoir te dit...

Je crois que je t’aime.

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