rechute...

  Oui, j’avais dit que je n’en parlerais plus… Pourtant… Je vais en reparler, une fois encore. Et après tout, à quoi bon vouloir ne plus parler de ça ici ? Si mes articles vont au fil de mon ressenti et de mes découvertes, mes pensées m’entraînant dans les méandres des considérations amoureuses, que ce que je poste sur ce blog les suive aussi…

  Alors, oui, je ne serrai qu’une de plus parmi toutes celles et ceux qui racontent leurs déboires amoureux, qu’une de moins parmi toutes celles et ceux qui aiment à clamer Ô combien ils sont heureux.

  Alors, oui, je sais bien, il y a mille fois plus malheureux que moi, je le sais parfaitement. Relativiser, mais ne pas minimiser. Je relativise : il y a des gens qui, chaque seconde, meurent de faim. Et tant d’autres choses qui font que oui, vraiment, je ne suis pas mal lotie du tout. Je ne minimise pas : je ne suis pas si heureuse que je pourrais l’être ; j’ai eu des problèmes, et j’en ai encore.

  Non, je ne suis pas malheureuse. Souvent, même, je suis assez joyeuse. Quelque fois, mais elles ne sont pas si nombreuses que cela, c’est juste un masque. Et puis... sans toujours savoir d’où elle vient, une déprime me prend. Elle m’envahit quelques minutes. Parfois même seulement quelques secondes. Et à d’autres moments, ça dure des heures, voire des jours, voire encore davantage. Et c’est dans ces moments-là que j’écris des choses comme celles-ci.

Demain, sûrement, je serais tout sourire...

Mais en attendant... Parlons-en.

Alors, juste, aujourd’hui… Seulement quelques mots :

J’ai envie d’aimer. J’ai envie d’être aimée.